Vœux de l’UFCNA et remise en ligne du site

L’année 2025 a vu la reprise du trafic sur de nombreuses plates-formes, égalant ou dépassant celui de 2019, c’est-à-dire avant covid ; ainsi, l’augmentation du bruit a nécessité la mise en place d’études d’impact selon l’approche équilibrée sur les principaux aéroports français. Il en fut de même pour l’aviation générale, génératrice de toujours plus de nuisances.

Le gouvernement préfère se servir dans les recettes dédiées aux victimes des nuisances aéroportuaires plutôt que taxer les « ultra-voyageurs » et/ou le kérosène

La taxe sur les nuisances sonores aériennes (TNSA) créée en 1992 et dont le produit est affecté au financement des travaux d’insonorisation des bâtiments, est acquittée par les compagnies aériennes, à chaque décollage, sur le principe « vertueux » du pollueur-payeur, le montant étant modulé en fonction de la masse de l’avion et de l’heure (la nuit la taxe est plus forte). Son produit est reversé aux exploitants aéroportuaires chargés de la distribuer aux opérations d’insonorisation éligibles.

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